Le préservatif serait-il aussi sûr qu’on le dit ?

L’étude faite par le Dr. Ing. José Giralt Gonzalez dans le N° 9 de « Réussir votre Santé » mettait en doute la fiabilité des préservatifs. Cet article n’a reçu, à ce jour, aucun démenti. Mieux encore, cette étude corrobore celle faite par le Dr. Johanès Lelkens, professeur d’anesthésiologie à l’université de Maastricht.

Dire que le préservatif est utile dans la lutte contre la transmission du sida relève plus d’une pseudo-conviction que d’une certitude scientifique.


Assistera-t-on au procès du préservatif ?
Cela est peu probable. La raison est que si sa fiabilité n’est pas certaine, la transmission sexuelle (hétérosexuelle) n’est pas l’unique responsable de l’infection qui est multifactorielle. Des études font ressortir que si la population touchée est surtout homosexuelle, perfusée ou droguée, seuls 15% de l’ensemble des porteurs de virus du sida sont hétérosexuels (alors que les hétérosexuels représentent 94% de la population sexuellement active).

Aujourd’hui, si les homosexuels se reconnaissent comme tels, il est nettement plus difficile d’avouer son penchant pour les drogues dites « dures » prises par voie intraveineuse. (Ces études font abstraction des drogues dites « douces » et ne tiennent pas compte des autres dépendances à la cocaïne, au haschich, à l’alcool, aux médicaments...)

A un effet - quel qu ïl soit -, existe une ou plusieurs causes responsables. Ce n’est qu’en les supprimant que l’on peut espérer faire disparaître la pathologie. Dans le cas particulièrement dramatique du sida, qui frappe tant de jeunes femmes et de jeunes hommes, la science est, à l’heure actuelle, désarmée, voire impuissante.

Une surface pleine de trou
Les préservatifs ne préservent rien. Une étude réalisée par un chercheur hollandais affirme qu’« ils recueillent un énorme succès dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles, mais le pourcentage d’échecs est plus important qu’on ne le pensait jusqu’à présent.

Les prophylactiques réputés les plus sûrs ne sont pas exempts de trous, de fissures et autres orifices d’une taille nettement supérieure à celle des virus. Leur image, au microscope, les fait davantage ressembler à un paysage lunaire troué de cratères qu’à une surface parfaitement lisse et étanche. Si l’on tient compte du fait que le sida reste une maladie mortelle, la pratique de relations sexuelles, mêmes assorties « du petit bout de caoutchouc » s’apparente tout à fait « à la roulette russe, jouée avec neuf balles sur dix trous dans le barillet », affirme également cette étude. Selon le Dr. Johanès Lelkens, auteur de cette étude, quand on parle du virus du sida, dont la taille est 30 fois plus petite que la tête d’un spermatozoïde, le danger augmente notablement. Le virus HIV représente un minuscule disque de 0,1 micron de diamètre.

Actuellement, les tests électroniques de perméabilité des préservatifs sont capables de localiser des trous d’un diamètre variant entre 10 et 12 microns. En d’autres termes, des orifices au travers desquels 100 virus pourraient passer de front.

Qu’arrive-t-il aux trous plus petits ?
Les tests ne les localisent tout simplement pas. En 1990, les professeurs G.B. Davis et L.W Schorceder (« Journal of Testing and Evaluation ») ont réalisé des orifices de 1 micron de diamètre (dix fois la taille du virus HIV) dans des préservatifs qui avaient subi avec succès les tests de contrôle. 90 d’entre-eux ont alors obtenu le même résultat satisfaisant lors de leur deuxième passage, comme si les trous n’existaient pas. Une expérience semblable, dirigée par R.F. Carey (« Sexually Transmitted Diseases », 1992) a débouché sur des conclusions similaires.

Mais il n’est même pas nécessaire de faire ces trous. Dans la plupart des cas, ils existent déjà. C’est en tout cas ce qu’a constaté C.M. Roland, du « Naval Research Laboratory » de Washington : « La surface des préservatifs laisse apparaître des cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et une profondeur de 30 microns. Pire même, dans l’optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre qui traversaient la paroi de part en part ».

En d’autres termes, cela signifie qu’il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l’intérieur et l’extérieur du préservatif, et dont le diamètre est 50 fois supérieur à celui du virus HIV.

Naturellement, la présence de trous par lesquels pourrait se faufiler le virus ne signifie pas nécessairement que cela arrive. La meilleure manière de vérifier le degré de sûreté qu’offrent réellement les préservatifs est une étude sur la fréquence de la transmission du virus chez les couples « HIV discordants », c’est-à-dire où l’un des deux est séropositif.

Les résultats de la seule étude de ce type réalisée jusqu’à présent ont montré que l’usage du préservatif ne réduisait que de 69 % le risque de contracter le virus (Susan C. Weller « A Meta-Analysis of Condom effectiveness in reducing sexually transmitted HIV », 1993). Cela signifie que dans 31 % des cas, il existe un danger réel de contamination par le virus du sida, ce qui correspond au total des erreurs constatées sur les préservatifs testés. Ce risque, qui est déjà élevé par lui-même, augmente encore considérablement en cas de relations sexuelles différentes du coït vaginal, ou en cas de rapports multiples.

Source: Health Republic

2 commentaires:

Anonyme a dit…

cét article sousentend k seule la fidélité é sure . il rejoint lé religieux ki pensent en fait k le préservatif é un moyen de perversion de la société! car il dénigre l 'usage du préservatif en montrant l'existence des "petits trous".mais cétte étude é incompléte en montrant ce blém il devré à la suite donné dé solutions !

Unknown a dit…

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