Faiblesse des supports de developpement!

Pour les nombreux etudiants senegalais ou ceux deja diplomes a la recherche de specialisation, il n'existe aucun support mediatique adapte servant et faisant le lien entre Information, Formation et Insertion.

C.a.d de rapprocher les niveaux de qualifications offerts par les sortants du systeme educatif de ceux demandes par les employeurs des secteurs porteurs de haute competition.

En d'autre termes, des outils de formation parlant le meme language que ces jeunes pour dabord les eduquer pour l'integration des nouvelles technologies dans leur quotidien, ensuite leur garantir une formation aux besoins des entreprises et aux exigences du marche mondial actuel.


C'est certainement le but recherche par le quotidien national "Le Soleil" a travers son site internet ou il propose un theme brulant d'actualite "Quelles etudes apres le baccalaureat?". Ce dossier important pour les jeunes lyceens et etudiants senegalais est selon la direction du "Le Soleil" une parfaite reponse a la grande confusion qui habite nombre de parents, eleves et etudiants pour la recherche d'informations relatives aux etudes superieures.

Un article du Soleil revele qu'au moment du choix décisif pour une specialisation, beaucoup de nouveaux bacheliers senegalais ne savent où donner de la tête. En verite, l'écrasante majorité se posent sérieusement la question de leur avenir après le lycée au moment décisif du choix. Le plus souvent, ils s’en remettent au hasard des conseils fragmentaires des parents ou amis. La direction du Centre national de l’orientation scolaire et professionnelle (Cnosp), sise au quartier Point E à Dakar declare qu'en periode pre-bac, beaucoup de nouveaux étudiants voire des parents d’élèves ne cessent de solliciter les éclairages des psychologues et conseillers d’orientation du centre.

L'enquete5 realisee par le conseil du patronat senegalais revele que la formation technique et professionnelle est peu developee au Senegal et ne concerne que 1% des etudiants derriere l’Ouganda (3.9%), le Kenya(1.1%), l’Erythree (11.9%) et le Nigeria(8.9%). L’enquete intitulee “Climat des investisments au Senegal”, souligne que 22.52% des employes senegalais du secteur manufacturier ont un niveau d’education qui s’arrete au primaire, 33.40% pour le secondaire general, 16.66% a l’education technique (secondaire et cycle universitaire court) et 20.11% a l’universite et aux ecoles d’ingenieurs.

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