Sous l'impulsion de dépenses d'investissement, de matériel et des salaires, les dépenses totales et les prêts nets cumulés ont connu une progression de 71,3 milliards de francs Cfa en fin juin dernier par rapport à la même période de 2006, indique la note de conjoncture mensuelle reçue à l'Aps. La Direction de la prévision et des études économiques relève que les dépenses totales et prêts nets cumulés à fin juin 2007 sont estimés à 654,4 milliards contre 583,1 milliards à la même période en 2006, soit une progression de 71,3 milliards en valeur absolue et 12,2% en valeur relative.
"Sous l'effet essentiellement de l'augmentation des dépenses d'investissement sur les ressources internes et des dépenses courantes (salaires et dépenses de matériel)'', explique cette structure du ministère de l'Economie et des Finances.
En effet, souligne-t-il, les dépenses en capital sur ressources internes sont évaluées à 159 milliards contre 109 milliards un an auparavant, s'améliorant ainsi de 50 milliards (46%). Ainsi, cette hausse porte ‘'le ratio dépenses en capital sur ressources internes rapportées aux recettes fiscales'' à 30%, au-delà du plancher communautaire de 20%.
La masse salariale est estimée à 161,7milliards à fin juin 2007 contre 137,8 milliards, un an auparavant, soit une augmentation de 23,9 milliards (17%) reflétant la prise en compte dans sa quasi-globalité du programme de recrutement 2003-2005. Le ratio masse salariale sur recettes fiscales se situe à 29,8% demeurant ainsi en dessous du seuil communautaire de 35%, souligne le ministère des Finances.
Quant aux autres dépenses courantes, elles sont évaluées à 257,5 milliards contre 232,8 milliards précédemment, soit une progression de 24,7 milliards à fin juin (10,6%). Ainsi, le déficit global calculé sur la base de ces ordonnancements (dons compris) est estimé à 56,1 milliards contre 82 milliards à la même période en 2006. Le solde de base y compris dépenses Ppte est évalué en déficit de 34,9 milliards.
"Sous l'effet essentiellement de l'augmentation des dépenses d'investissement sur les ressources internes et des dépenses courantes (salaires et dépenses de matériel)'', explique cette structure du ministère de l'Economie et des Finances.
En effet, souligne-t-il, les dépenses en capital sur ressources internes sont évaluées à 159 milliards contre 109 milliards un an auparavant, s'améliorant ainsi de 50 milliards (46%). Ainsi, cette hausse porte ‘'le ratio dépenses en capital sur ressources internes rapportées aux recettes fiscales'' à 30%, au-delà du plancher communautaire de 20%.
La masse salariale est estimée à 161,7milliards à fin juin 2007 contre 137,8 milliards, un an auparavant, soit une augmentation de 23,9 milliards (17%) reflétant la prise en compte dans sa quasi-globalité du programme de recrutement 2003-2005. Le ratio masse salariale sur recettes fiscales se situe à 29,8% demeurant ainsi en dessous du seuil communautaire de 35%, souligne le ministère des Finances.
Quant aux autres dépenses courantes, elles sont évaluées à 257,5 milliards contre 232,8 milliards précédemment, soit une progression de 24,7 milliards à fin juin (10,6%). Ainsi, le déficit global calculé sur la base de ces ordonnancements (dons compris) est estimé à 56,1 milliards contre 82 milliards à la même période en 2006. Le solde de base y compris dépenses Ppte est évalué en déficit de 34,9 milliards.
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