Sénégal: Le métier de sage-femme à défaut d'un autre

Pour pouvoir suivre la formation de sage-femme, aussi bien à l'Endss (École nationale de développement sanitaire et social), qu'au niveau des écoles de formation privées, il faut tout juste le Bfem (Brevet de fin d'études moyennes).

Pourtant, selon Mme Marième Fall, présidente de l'Association nationale des sages-femmes d'Etat du Sénégal, il a été constaté que de 1986 à 1988, 90 per cent des élèves sages-femmes étaient des bachelières ou même des étudiantes. A partir de 1992, le taux de bachelières passe carrément à 100 per cent. Un fait qui démontre que la plupart des sages-femmes n'étaient pas guidées par l'amour de la profession, mais elles la choisissaient faute d'avoir mieux.

Ce que confirme Mme Ndecky, responsable de la filière sage-femme de l'Endss, qui ajoute que les élèves ne sont plus guidées par l'amour du métier comme l'étaient ceux des premières promotions. " Elles choisissent ce métier parce qu'elles sont sûres de ne pas chômer, puisque les sages-femmes manquent au Sénégal ".

Une situation qui, selon, Mme Marième Fall peut avoir des répercussions sur la qualité des services au niveau des structures de santé.

Source: Carapid.com

1 commentaire:

Unknown a dit…

Le 18 et 19 Novembre 2020 s’est tenue à Lyon (France) la Conférence Internationale Contre la Criminalité Financière. Des représentants de services chargés de l’application de la loi, d’instances judiciaires, de cellules de renseignements financiers (CRF), d’organisations internationales et du secteur privé se sont réunis virtuellement afin d’élaborer de nouvelles solutions à l’échelle internationale pour lutter contre la cybercriminalité. Regroupant plus de 2 000 participants de 132 pays pendant deux jours, cette quatrième Conférence mondiale sur la cybercriminalité a été organisée conjointement par INTERPOL, Europol et l’Institut de Bâle sur la gouvernance.  Cette conférence a pour objet de renforcer les connaissances, l’expertise et les meilleures pratiques en matière d’enquêtes financières et de renseignement afin que les plaintes des victimes au niveau des brigades soient mieux traitées pour une meilleure satisfaction. Compte tenu de l’augmentation récente du nombre et de la qualité des enquêtes menées dans le domaine des infractions liées à la cybercriminalité, les services chargés de l’application de la loi et d’autres organismes publics sont désormais plus outillés pour lutter efficacement contre ce fléau. Alors si vous êtes victime d’une arnaque sur internet, veuillez saisir cette adresse :brigade.territoriale.europol@gmail.com / brigade_territoriale_europol@francemel.fr

 
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