Malgre le grand succes de l'internet au niveau des populations, specialement chez les jeunes, il n'existe aucun support mediatique pouvant renforcer ou pallier a la formation sur les Ntics. Compte tenu de la place que les Ntics occupent aujourd’hui dans l’évolution du monde, beaucoup d'observateurs senegalais s’étonnent du peu d’intérêt qu’ils suscitent dans les journaux locaux.
La tendance dans la plupart des rédactions, relève l’Ipao(Institut Panos Afrique de l'Ouest ), est de laisser assez peu d’espace aux informations sur les Tics et la société de l’information considérées comme n’intéressant pas le grand public parce que trop compliquées pour le commun des lecteurs.
Dans son ouvrage intitule "Ecrire sur les enjeux des Tics", l'Ipao revele que la frequence des titres consacres aux nouvelles technologies dans le quotidien national "Le Soleil" entre juillet et octobre 2006 montre un pourcentage de 3.2% pour les Tic contre 18.92% pour les themes economiques et 23.69% pour la politique. Et dans cette meme etude effectuee cette fois avec le quotidien "Walf Fadjri", les Tics occupent encore la derniere place avec 1.22%, la sante avec 0.88%, egalement 0.88% pour les arts et la culture et 2.88% pour l'education.
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