
Cette structure qui s'intéresse à la formation informatique de base aux élèves, étudiants et enseignants dans les pays membres avec le soutien actif de School Net Africa.

Ils ont ensuite remercié Microsoft de leur donner l'opportunité d'aller au Caire et de montrer leurs connaissances en informatique. Gérard Ali Hoballah, directeur général de Microsoft Unlimited Potential pour le Moyen Orient et l'Afrique a fait lors de cette soirée un exposé sur l'importance de l'éducation et l'utilisation de l'outil informatique, qui selon lui, sont des points incontournables du développement. Pour lui, la philosophie de Microsoft Unlimited Potential s'articule au tour de plusieurs piliers. L'innovation locale, modernisation de l'éducation en l'adaptant au Ntic et mise à disposition de l'outil informatique à tous.
Le prix, qui a ete décerné à l'occasion d'un dîner de gala organisé lundi à l'Hôtel Méridien Président de Dakar, témoigne de l'intérêt que Microsoft accorde aux activités de SchoolNet Africa qui, dans le cadre du programme Mtandao Afrika, a organisé un concours de pages web éducatives au bénéfice de la jeunesse africaine.

Depuis Juin 2007, Microsoft a mis en place un programme dénommé "Microsoft Unlimited Potential" dont l'objectif principal consiste à participer à l'amélioration de la qualité de l'enseignement, encourager et accompagner l'initiative locale pour le développement communautaire, susciter les opportunités de création d'emploi pour les jeunes.
L'initiative est fondée sur la philosophie selon laquelle "une entreprise citoyenne est celle qui, au delà du profit, reconnaît que son propre développement est lié à celui de la Communauté au sein de laquelle elle prospère".
Aussi Microsoft, qui se veut une entreprise citoyenne entend contribuer au développement de sa communauté à partir du programme "Microsoft Unlimited Potential" qui déploie trois sous-programmes, à savoir, le partenariat dans l'Education, le développement des capacités de la Communauté et la prise en compte des langues locales.
Ce dernier volet concerne la conception de l'interface Office et Windows dans les langues locales africaines, dont le Yoruba, le Kiswahili, le Kenya Rwanda, et, depuis avril 2006 le Wolof dont la traduction a été effectuée en collaboration avec le département linguistique de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, en attendant la partie conception confiée à l'entreprise Solutions et Services Informatiques (2SI).
Source: Jeune Afrique
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