L’ex-sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal Bruno Metsu est revenu sur ses derniers moments passés à la tête de l’équipe nationale de football du Sénégal. Et c’est pour dire qu’il n’est pas parti de son propre gré du Sénégal mais qu’il a été viré par la Fédération sénégalaise de football. Amer, Bruno Metsu, invité de "Grand Jury" de la Rfm, se dit cependant prêt à reprendre les rennes du football sénégalais.
« On m’a mis à la porte ». C’est l’ex-sélectionneur Bruno Metsu, « l’un des rares sélectionneurs à avoir été viré après une victoire », comme il s’est lui-même présenté, qui l’a déclaré sur les ondes de la Rfm. Il a expliqué les dernières péripéties qui ont précédé son départ. « J’ai demandé si je pouvais partir. Et le Président Wade m’a dit : « écoute, Bruno, je te fais la faveur de partir. La saison prochaine, tu reviens ». A partir de là, je devrais reprendre l’équipe », dit-il. Mais poursuit-il, « la fédération m’a viré après ». Il précise ainsi que « ce n’est pas Bruno Metsu qui a demandé de partir… » . Mieux, ajoute-il, « si on m’avait demandé de ne pas partir, je ne serais pas parti ».
Rancunier ? Bruno Metsu déclare en tout cas ne pas oublier : « aujourd’hui, après être parti, je me rends compte que j’ai apporté une pierre à l’édifice… Mais j’en veux à ceux qui ont précipité mon départ », confesse l’ex-sélectionneur des Lions du football. Bruno est d’autant plus amer qu’ « il y avait moyen de retourner à la Coupe du monde à la place du Togo ».
Il regrette aujourd’hui encore que l’ambiance qui a prévalu durant les « années de joie » du football sénégalais ne soit plus de mise. « Le football, c’est un ensemble. C’est un esprit de famille. Tout le monde est uni et réuni pour les résultats. S’il n y a pas unité, c’est impossible de faire du bon travail ».
Bruno Metsu qui se définit comme un passionné du ballon avec un « groupe sanguin rhésus football », a évoqué les « heures de labeur énorme » qui ont donné des résultats entre 2002 et 2004. « Je regrette de n’avoir pas enregistré tout ça. On a beaucoup travaillé ». Il cite aussi l’apport de Massata Diack de Pamodzi pour expliquer que c’est toute une ambiance qui a porté les lions au sommet.
« On m’a mis à la porte ». C’est l’ex-sélectionneur Bruno Metsu, « l’un des rares sélectionneurs à avoir été viré après une victoire », comme il s’est lui-même présenté, qui l’a déclaré sur les ondes de la Rfm. Il a expliqué les dernières péripéties qui ont précédé son départ. « J’ai demandé si je pouvais partir. Et le Président Wade m’a dit : « écoute, Bruno, je te fais la faveur de partir. La saison prochaine, tu reviens ». A partir de là, je devrais reprendre l’équipe », dit-il. Mais poursuit-il, « la fédération m’a viré après ». Il précise ainsi que « ce n’est pas Bruno Metsu qui a demandé de partir… » . Mieux, ajoute-il, « si on m’avait demandé de ne pas partir, je ne serais pas parti ».
Rancunier ? Bruno Metsu déclare en tout cas ne pas oublier : « aujourd’hui, après être parti, je me rends compte que j’ai apporté une pierre à l’édifice… Mais j’en veux à ceux qui ont précipité mon départ », confesse l’ex-sélectionneur des Lions du football. Bruno est d’autant plus amer qu’ « il y avait moyen de retourner à la Coupe du monde à la place du Togo ».
Il regrette aujourd’hui encore que l’ambiance qui a prévalu durant les « années de joie » du football sénégalais ne soit plus de mise. « Le football, c’est un ensemble. C’est un esprit de famille. Tout le monde est uni et réuni pour les résultats. S’il n y a pas unité, c’est impossible de faire du bon travail ».
Bruno Metsu qui se définit comme un passionné du ballon avec un « groupe sanguin rhésus football », a évoqué les « heures de labeur énorme » qui ont donné des résultats entre 2002 et 2004. « Je regrette de n’avoir pas enregistré tout ça. On a beaucoup travaillé ». Il cite aussi l’apport de Massata Diack de Pamodzi pour expliquer que c’est toute une ambiance qui a porté les lions au sommet.
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