Je suis un citoyen sénégalais comme une dizaine de millions d'autres compatriotes, jouissant de tous mes droits civiques, à ce titre, je crois avoir droit de me voir délivrer dans les délais raisonnables, mon passeport dont la demande a été déposée depuis deux mois. En plus je suis un immigré et cet état de fait risque de me coûter très cher car, en plus de ne plus disposer de moyens financiers pour faire vivre ma famille, j' ai déjà perdu mon travail que je devais reprendre à la fin du mois de juillet et, "cerise sur le gâteau " mon séjour qui expirant en septembre, je risque tout bonnement de ne plus avoir la possibilité de retourner en Italie même avec un passeports en bonne et due forme tardivement établi. Malheureusement, je suis pas seul dans cette situation. Chaque fois que je vais à la direction des passeports j' y rencontre des dizaines d'immigrés dans la même situation.
Tout cela à cause d' une mafia qui a pris ses quartiers au niveau de ce service. C'est ainsi que deux personnes que j'ai eu l'occasion d' y rencontrer et moi même sommes victimes, selon toute probabilité, de représailles de la part d'un certain B. W qui officie au service "production" au niveau de la direction des passeports et titres de voyage à Dieuppeul. Ce Monsieur, connu par l'entremise d'une rabatteuse, m' avait demandé la faramineuse somme de 200.000 frs cfa pour accélérer la procédure de délivrance de mon document. Quand je lui ai fait savoir que j'étais dans l'impossibilité de débourser une telle somme, il a proférer alors des menaces à peine voilées, que je n 'avais pas comprises sur le champ, que je ne me verrais jamais établir un passeport, cela après s' être fait remettre copie du récépissé. Ce qui me fonde à penser aux représailles c'est , outre ces menaces bien sûre, le fait qu' en dépit de plus d' un mois et demi d'attente et de recherches, mon dossier n' est pas retrouvé. Qu' à cela ne tienne on m'autorisa à faire un deuxième dépôt depuis quinze jours mais apparemment le même scénario est en train de se répéter puisque mon dossier a complètement disparu sans laisser de traces et j' ai pu noter ce jour là, à peine il m' a remarqué dans le hall qu' il a cherché à se cacher pour disparaître furtivement en direction de son lieu de travail (production) au premier.
Je suis vraiment désespéré car un état de droit comme le Sénégal n' aurait pas dû permettre que de telles choses puissent s'y dérouler impunément. On m' a promis un énième dépôt mais cette fois qu' il sache que j' ai informé de ces agissements qui de droit et je ne ménagerai aucun effort pour qu' il soit épinglé. Pour le moment je m' en remets à Dieu le seul recours qui tôt ou tard ici bas ou à l'au-delà rendra justice.
Moustapha Mbaye - moustaphambaye@yahoo.fr
Source: Seneweb.com
Tout cela à cause d' une mafia qui a pris ses quartiers au niveau de ce service. C'est ainsi que deux personnes que j'ai eu l'occasion d' y rencontrer et moi même sommes victimes, selon toute probabilité, de représailles de la part d'un certain B. W qui officie au service "production" au niveau de la direction des passeports et titres de voyage à Dieuppeul. Ce Monsieur, connu par l'entremise d'une rabatteuse, m' avait demandé la faramineuse somme de 200.000 frs cfa pour accélérer la procédure de délivrance de mon document. Quand je lui ai fait savoir que j'étais dans l'impossibilité de débourser une telle somme, il a proférer alors des menaces à peine voilées, que je n 'avais pas comprises sur le champ, que je ne me verrais jamais établir un passeport, cela après s' être fait remettre copie du récépissé. Ce qui me fonde à penser aux représailles c'est , outre ces menaces bien sûre, le fait qu' en dépit de plus d' un mois et demi d'attente et de recherches, mon dossier n' est pas retrouvé. Qu' à cela ne tienne on m'autorisa à faire un deuxième dépôt depuis quinze jours mais apparemment le même scénario est en train de se répéter puisque mon dossier a complètement disparu sans laisser de traces et j' ai pu noter ce jour là, à peine il m' a remarqué dans le hall qu' il a cherché à se cacher pour disparaître furtivement en direction de son lieu de travail (production) au premier.
Je suis vraiment désespéré car un état de droit comme le Sénégal n' aurait pas dû permettre que de telles choses puissent s'y dérouler impunément. On m' a promis un énième dépôt mais cette fois qu' il sache que j' ai informé de ces agissements qui de droit et je ne ménagerai aucun effort pour qu' il soit épinglé. Pour le moment je m' en remets à Dieu le seul recours qui tôt ou tard ici bas ou à l'au-delà rendra justice.
Moustapha Mbaye - moustaphambaye@yahoo.fr
Source: Seneweb.com
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