Les taxes sur les billets d'avions sont jugées très élevées aussi bien par les touristes que les organisateurs des voyages touristiques. L'un d'entre eux, Djamel Touati, Directeur du Tour opérator Aircm (Air charters méditerranée), qui a fait de la Casamance sa priorité, déplore le taux trop élevé des taxes. Ce qui selon lui, risque de tuer la destination Sénégal malgré le fait qu'elle soit très prisée par la clientèle européenne.
Basé à Paris dans le 18è arrondissement, Djamel Touati fait partie de ceux que l’on peut appeler les convoyeurs de touristes aux hôtels et autres sites touristiques du Sénégal, et plus particulièrement de la Casamance. M. Touati qui a fait du Sud du pays sa priorité s’est investi dans la relance du tourisme en Casamance longtemps handicapée par la rébellion.
C’est dans cette optique qu’il a initié, aux côtés de la compagnie Air Sénégal international (Asi) et des hôteliers sudistes, un voyage de presse à l’intention d’un groupe de journalistes Français et Sénégalais en vue de les imprégner de l’immense potentiel dont regorge la zone mais surtout sur une paix retrouvée. Le directeur d’Aircm se fixe comme objectif cette saison, d’aboutir à 2 500 passagers du point de vue transport aérien, rien que pour la Casamance.
Travaillant avec la compagnie Air Sénégal depuis 5 ans, il compte fructifier le partenariat avec la compagnie Sénégalaise en s’engageant d’avantage sur les sièges. Le seul hic, indique-t-il, c’est que les taxes sur les billets d’avions sont très élevées. En effet, le responsable d’Aircm indique que les taxes aéroportuaires se situent aujourd’hui à 229 euros sur chaque billet d’avion. Il souligne que si l’on diminue entre 80 et 90 euros, ce serait un pas gigantesque. « Un enfant qui vient avec ses parents et qui paie 229 euros pour un séjour à 400 euros, cela lui fait un total presque de 700 euros. C’est énorme. Alors qu’avec ce prix-là, on peut se payer un séjour pension complète en République Dominicaine. Ici au Sénégal, il suffit de débourser 1 000 à 1 300 euros pour un séjour d’une semaine », commente Djamel Touati.
C’est dans cette optique que lui et les acteurs du tourisme s’en sont ouverts au ministre du Tourisme pour qu’elle puisse donner une réponse favorable à leur requête visant à diminuer les taxes sur les billets d’avions. Ce qui, pour Djamel et compagnie, pourrait constituer un joli cadeau de Noël. « Si le gouvernement arrive à nous aider, on va amener beaucoup de touristes en Casamance. Mais il faudrait que l’on revoie les choses du point de vue des taxes parce que les clients qui viennent au Cap Skirring font juste une escale technique à Dakar. Ils ne descendent pas, donc, on peut enlever 50 euros sur les taxes » a laissé entendre le convoyeur de touristes qui ajoute que cela va constituer un pas énorme pour la relance des activités du tourisme dans la région sud du pays.
Source : Le Matin
C’est dans cette optique qu’il a initié, aux côtés de la compagnie Air Sénégal international (Asi) et des hôteliers sudistes, un voyage de presse à l’intention d’un groupe de journalistes Français et Sénégalais en vue de les imprégner de l’immense potentiel dont regorge la zone mais surtout sur une paix retrouvée. Le directeur d’Aircm se fixe comme objectif cette saison, d’aboutir à 2 500 passagers du point de vue transport aérien, rien que pour la Casamance.
Travaillant avec la compagnie Air Sénégal depuis 5 ans, il compte fructifier le partenariat avec la compagnie Sénégalaise en s’engageant d’avantage sur les sièges. Le seul hic, indique-t-il, c’est que les taxes sur les billets d’avions sont très élevées. En effet, le responsable d’Aircm indique que les taxes aéroportuaires se situent aujourd’hui à 229 euros sur chaque billet d’avion. Il souligne que si l’on diminue entre 80 et 90 euros, ce serait un pas gigantesque. « Un enfant qui vient avec ses parents et qui paie 229 euros pour un séjour à 400 euros, cela lui fait un total presque de 700 euros. C’est énorme. Alors qu’avec ce prix-là, on peut se payer un séjour pension complète en République Dominicaine. Ici au Sénégal, il suffit de débourser 1 000 à 1 300 euros pour un séjour d’une semaine », commente Djamel Touati.
C’est dans cette optique que lui et les acteurs du tourisme s’en sont ouverts au ministre du Tourisme pour qu’elle puisse donner une réponse favorable à leur requête visant à diminuer les taxes sur les billets d’avions. Ce qui, pour Djamel et compagnie, pourrait constituer un joli cadeau de Noël. « Si le gouvernement arrive à nous aider, on va amener beaucoup de touristes en Casamance. Mais il faudrait que l’on revoie les choses du point de vue des taxes parce que les clients qui viennent au Cap Skirring font juste une escale technique à Dakar. Ils ne descendent pas, donc, on peut enlever 50 euros sur les taxes » a laissé entendre le convoyeur de touristes qui ajoute que cela va constituer un pas énorme pour la relance des activités du tourisme dans la région sud du pays.
Source : Le Matin
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