Avant de partir pour le Canada, le chanteur Zale Seck évoluait dans un style musical particulier, intitulé ‘Mbalax dagou'. Après un séjour de six ans à l'étranger, l'artiste revient avec le ‘Mbalax wakhou'. Un passage à la vitesse supérieure perceptible dans sa nouvelle production, titrée Beuguenté (s'aimer).
Cet album est réalisé par son fils Assane Seck, guitariste dans le groupe de Fallou Dieng. Accompagné de jeunes musiciens, celui qui est devenu le directeur artistique de son père, mêle le Mbalax pur et dur aux folklores Sérère et Diola.
Cette cinquième production de Zale Seck, riche de six titres, est surtout axée sur des thèmes de société. On y retrouve des titres comme Beuguenté, Meun Meun, et Mame Abdoul Aziz Dabakh, Chérif Yousseynou Laye, un titre repris du premier album du chanteur. Le séjour canadien de l’enfant de Yoff a visiblement eu un impact dans sa démarche musicale. ‘Les Canadiens apprécient la musique en l’écoutant, alors que les Sénégalais aiment la danser’, compare-t-il. Ce constat a ainsi permis à l’interprète de Rirou Mbeuguel (1999) de donner une plus grande ouverture à sa musique et de la rendre plus accessible.
L’artiste évolue aussi dans deux formations musicales jouant des styles différents : l’une propose une version acoustique, l’autre étant plus versée dans le Mbalax. Sur scène, le chanteur est accompagné par des musiciens québécois et africains. Zale Seck a démarré une carrière solo en 1992. Il a à son actif six albums : Mando (1992), Yow kan (1994) Dolel mbeuguel (1996) et Africa bolo sorti au Canada en 2003. Pour le deuxième album qu’il compte mettre sur le marché canadien, l’auteur de Beuguenté prévoit de chanter en français.
Une façon pour lui d’élargir son audience. Parallèlement à sa carrière de musicien, Zale Seck enseigne la percussion et les rythmes africains dans des écoles et universités canadiennes. Son nouvel album marque son retour parmi les siens pour seulement un mois.
Source: Walf Fadjri
Cet album est réalisé par son fils Assane Seck, guitariste dans le groupe de Fallou Dieng. Accompagné de jeunes musiciens, celui qui est devenu le directeur artistique de son père, mêle le Mbalax pur et dur aux folklores Sérère et Diola.
Cette cinquième production de Zale Seck, riche de six titres, est surtout axée sur des thèmes de société. On y retrouve des titres comme Beuguenté, Meun Meun, et Mame Abdoul Aziz Dabakh, Chérif Yousseynou Laye, un titre repris du premier album du chanteur. Le séjour canadien de l’enfant de Yoff a visiblement eu un impact dans sa démarche musicale. ‘Les Canadiens apprécient la musique en l’écoutant, alors que les Sénégalais aiment la danser’, compare-t-il. Ce constat a ainsi permis à l’interprète de Rirou Mbeuguel (1999) de donner une plus grande ouverture à sa musique et de la rendre plus accessible.
L’artiste évolue aussi dans deux formations musicales jouant des styles différents : l’une propose une version acoustique, l’autre étant plus versée dans le Mbalax. Sur scène, le chanteur est accompagné par des musiciens québécois et africains. Zale Seck a démarré une carrière solo en 1992. Il a à son actif six albums : Mando (1992), Yow kan (1994) Dolel mbeuguel (1996) et Africa bolo sorti au Canada en 2003. Pour le deuxième album qu’il compte mettre sur le marché canadien, l’auteur de Beuguenté prévoit de chanter en français.
Une façon pour lui d’élargir son audience. Parallèlement à sa carrière de musicien, Zale Seck enseigne la percussion et les rythmes africains dans des écoles et universités canadiennes. Son nouvel album marque son retour parmi les siens pour seulement un mois.
Source: Walf Fadjri
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire