Les écrivaines Coumba Touré et Aïssatou Cissé, respectivement gérante et directrice de publication de Falia Editions Enfance, qui est la première maison d’édition créée par la romancière feue Fatou Ndiaye Sow, vont faire leur baptême de feu en décembre prochain, en lançant leurs 3 premières publications depuis le décès de leur marraine, a révélé mercredi Aïssatou Cissé, dans un entretien accordé à APA.
Pour Aïssatou, auteur du roman « Zeyna », Coumba et elle sont les « successeurs et témoins de la continuité du travail de feue Fatou Ndiaye Sow », mission qu’elles comptent assurer avec ces prochaines publications : « Jodaphia et la pierre qui frissonne » écrit par les élèves de l’école primaire George Lapierre (France), « Les jumelles de Bama » de Coumba Touré et « La chèvre de Sokoto » de Fama Diagne Sène.
Pour Coumba Touré, Fatou Ndiaye Sow avait été la première à avoir accepté de publier son premier livre, « Les jumeaux de Diyakunda » en 2003 sans l’avoir jamais vue ou connue auparavant.
Les jeunes écrivains ont peu de possibilités d’entrée a confié l’écrivain à APA au cours d’une cérémonie d’hommage à Fatou Ndiaye Sow, en octobre dernier à la maison des écrivains, Keur Birago, à Dakar.
« Elle était ouverte, exceptionnelle et voulait que beaucoup de jeunes soient publiés » témoigne Coumba Touré à l’intention de celle qui l’a introduite auprès des grands écrivains du monde à New York, où l’ancienne directrice de Falia Editions a rendu l’âme en octobre 2004 lors d’un congrès littéraire.
Pour Aïssatou, « la maison d’édition Falia restera toujours debout ». C’est comme si celle qu’on appelait affectueusement « La maman » est toujours là et nous devons assurer dignement le relais, dit-elle.
La maison d’édition accueille 34 enfants africains dont des Guinéens, des Maliens, des Togolais, et aussi des Sénégalais qui suivent des cours de poterie et d’art plastique, entre autres.
Source: APS
Pour Coumba Touré, Fatou Ndiaye Sow avait été la première à avoir accepté de publier son premier livre, « Les jumeaux de Diyakunda » en 2003 sans l’avoir jamais vue ou connue auparavant.
Les jeunes écrivains ont peu de possibilités d’entrée a confié l’écrivain à APA au cours d’une cérémonie d’hommage à Fatou Ndiaye Sow, en octobre dernier à la maison des écrivains, Keur Birago, à Dakar.
« Elle était ouverte, exceptionnelle et voulait que beaucoup de jeunes soient publiés » témoigne Coumba Touré à l’intention de celle qui l’a introduite auprès des grands écrivains du monde à New York, où l’ancienne directrice de Falia Editions a rendu l’âme en octobre 2004 lors d’un congrès littéraire.
Pour Aïssatou, « la maison d’édition Falia restera toujours debout ». C’est comme si celle qu’on appelait affectueusement « La maman » est toujours là et nous devons assurer dignement le relais, dit-elle.
La maison d’édition accueille 34 enfants africains dont des Guinéens, des Maliens, des Togolais, et aussi des Sénégalais qui suivent des cours de poterie et d’art plastique, entre autres.
Source: APS
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire