L’écrivain, universitaire, M. Hamidou Dia qui était l’invité de "Remue-ménage" sur la Rfm, ce dimanche, en compagnie de Abdou Lô, un universitaire, journaliste que la violence ne doit pas être le seul moyen de dialogue. Pour lui, pour que le Sénégal soit un pays émergent, il faut que la paix y règne.
Selon Hamidou Dia, "nous ne pouvons pas accepter que la violence soit le seul moyen de dialogue". Hamidou Dia tout comme Abdou Lô se référent aux derniers évènements qui se sont produits au Sénégal dernièrement.
En effet, soutient Abdou Lô, l’opposition a tout le temps appelé au dialogue le pouvoir, et celui-ci l’a refusé, la même fin de non-recevoir a été adressée aux syndicats qui eux aussi ne cessent d’appeler au dialogue. Or, poursuit Abdou Lô, parce que les jeunes commerçants ambulants ont investi la rue pour mener une "guérilla" face aux forces de l’ordre, l’Etat a daigné s’asseoir avec eux pour discuter. Hamidou Dia et Abdou Lô en tirent la conclusion que dans l’esprit des tenants du pouvoir, il faut agir avec violence pour obtenir le dialogue.
Et que les jeunes marchands ambulants ont montré la voie à l’opposition et aux syndicats. Ce qui ne peut-être que gros de danger. "Nous ne pouvons pas accepter que la violence soit le seul moyen de dialogue", avertit Hamidou Dia qui pense que "rien ne peut se faire dans le désordre". Pour Hamidou Dia, " il y a quelque chose de gros de danger dans ce pays. La cherté de la vie, le désespoir de la jeunesse qui dit préférer voyager ou mourir, et le président de la République qui dit que c’est la jeunesse qui l’a élu". Selon lui, c’est une telle situation qui est grosse danger.
Pour lui, l’Etat doit prendre des mesures drastiques pour réduire son train de vie, ainsi que celui des tenants du régime. Hamidou Dia soutient également que l’Etat doit apaiser la situation politique. Dans son entendement, même si c’est bon de construire des routes ainsi que des infrastructures, l’Etat doit diminuer les prix des denrées de première nécessité et s’atteler à créer des emplois.
Abdou Lô dénonce les nouveaux riches de l’alternance. Des gens qui selon lui, n’avaient rien avant l’avènement de l’alternance, qui partageaient la même chambre, le même lit, ou le même véhicule de transport en commun avec les jeunes qui les ont élus et qui aujourd’hui semblent les narguer en construisant de belles villas et en roulant à bord de véhicules rutilants. Abdou Lô poursuit qu’il y a un sentiment d’injustice qui habite ces jeunes qui peuvent être amenés à réagir violemment.
Ce qui fait dire à M. hamidou dia qu’il n’y a pas de classe intermédiaire dans notre pays. il existe des gens riches et des gens pauvres. Se prononçant sur la situation au sein du Pds, Hamidou Dia constate que ce parti a un fonctionnement clamnique. Il déplore l’atmosphère de fin de règne instaurée au sein du Pds où on ne parle que de Karim Wade, Macky Sall comme s’ils sont les seuls à aspirer à la succession du président Wade. Or, il y a les leaders politiques de l’opposition.
Source: Sunuker
En effet, soutient Abdou Lô, l’opposition a tout le temps appelé au dialogue le pouvoir, et celui-ci l’a refusé, la même fin de non-recevoir a été adressée aux syndicats qui eux aussi ne cessent d’appeler au dialogue. Or, poursuit Abdou Lô, parce que les jeunes commerçants ambulants ont investi la rue pour mener une "guérilla" face aux forces de l’ordre, l’Etat a daigné s’asseoir avec eux pour discuter. Hamidou Dia et Abdou Lô en tirent la conclusion que dans l’esprit des tenants du pouvoir, il faut agir avec violence pour obtenir le dialogue.
Et que les jeunes marchands ambulants ont montré la voie à l’opposition et aux syndicats. Ce qui ne peut-être que gros de danger. "Nous ne pouvons pas accepter que la violence soit le seul moyen de dialogue", avertit Hamidou Dia qui pense que "rien ne peut se faire dans le désordre". Pour Hamidou Dia, " il y a quelque chose de gros de danger dans ce pays. La cherté de la vie, le désespoir de la jeunesse qui dit préférer voyager ou mourir, et le président de la République qui dit que c’est la jeunesse qui l’a élu". Selon lui, c’est une telle situation qui est grosse danger.
Pour lui, l’Etat doit prendre des mesures drastiques pour réduire son train de vie, ainsi que celui des tenants du régime. Hamidou Dia soutient également que l’Etat doit apaiser la situation politique. Dans son entendement, même si c’est bon de construire des routes ainsi que des infrastructures, l’Etat doit diminuer les prix des denrées de première nécessité et s’atteler à créer des emplois.
Abdou Lô dénonce les nouveaux riches de l’alternance. Des gens qui selon lui, n’avaient rien avant l’avènement de l’alternance, qui partageaient la même chambre, le même lit, ou le même véhicule de transport en commun avec les jeunes qui les ont élus et qui aujourd’hui semblent les narguer en construisant de belles villas et en roulant à bord de véhicules rutilants. Abdou Lô poursuit qu’il y a un sentiment d’injustice qui habite ces jeunes qui peuvent être amenés à réagir violemment.
Ce qui fait dire à M. hamidou dia qu’il n’y a pas de classe intermédiaire dans notre pays. il existe des gens riches et des gens pauvres. Se prononçant sur la situation au sein du Pds, Hamidou Dia constate que ce parti a un fonctionnement clamnique. Il déplore l’atmosphère de fin de règne instaurée au sein du Pds où on ne parle que de Karim Wade, Macky Sall comme s’ils sont les seuls à aspirer à la succession du président Wade. Or, il y a les leaders politiques de l’opposition.
Source: Sunuker
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