Au moins un Sénégalais a été tué lors des attentats vecus avant-hier par la ville d'Alger. Il s'agit d'un ancien officier gendarme âgé d'une quarantaine d'années et répondant au nom de Babacar Ndiaye. Le Populaire qui le révèle dans sa page 2, précise que l'homme était réputé sérieux et rigoureux. Il avait épousé la fille du Professeur Madior Diouf, leader de Rassemblement national démocratique (Rnd).Babacar Ndiaye a même été aide de camp du Général Pathé Seck, ancien Haut commandant de la Gendarmerie nationale. Mais il avait démissionné de la gendarmerie pour chercher fortune à l’étranger. Doctorant en Philosophie, il a été aux Etats-Unis avant de poser ses bagages dans la capitale algérienne où il a été tué hier, dans un attentat revendiqué par l’organisation islamiste Al Qaïda.
Marié, père de deux enfants, il devait passer la fête de tabaski en famille. L’attentat qui a emporté la vie de Babacar Ndiaye a été perpétré par un kamikaze devant les locaux du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans le quartier de Hydra, pourtant très sécurisé.
De source officielle, 12 personnes, dont 5 employés de l’ONU, ont péri dans cette seconde explosion. Le HCR a estimé hier n’avoir « aucun doute sur le fait que les Nations unies étaient visées ». Les deux attentats à la voiture piégée qui ont fait tremblé Alger ont causé au moins 62 morts et des dizaines de blessés. Le bilan provisoire du ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, ne faisait état hier soir que de 26 morts et 177 blessés. Le premier attentat a été commis dans le quartier de Ben Aknoun, devant les locaux de la Cour suprême et de la Cour constitutionnelle.
Source: Nettali
Marié, père de deux enfants, il devait passer la fête de tabaski en famille. L’attentat qui a emporté la vie de Babacar Ndiaye a été perpétré par un kamikaze devant les locaux du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans le quartier de Hydra, pourtant très sécurisé.
De source officielle, 12 personnes, dont 5 employés de l’ONU, ont péri dans cette seconde explosion. Le HCR a estimé hier n’avoir « aucun doute sur le fait que les Nations unies étaient visées ». Les deux attentats à la voiture piégée qui ont fait tremblé Alger ont causé au moins 62 morts et des dizaines de blessés. Le bilan provisoire du ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, ne faisait état hier soir que de 26 morts et 177 blessés. Le premier attentat a été commis dans le quartier de Ben Aknoun, devant les locaux de la Cour suprême et de la Cour constitutionnelle.
Source: Nettali
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