L’art africain, c’est un concept qui rend compte d’une géographie et d’une histoire. Parce que africain c’est d’abord une géographie et une histoire et l’art c’est une pratique.Quand on parle de l’art africain, il y a le traditionnel et le moderne, c’est l’art que font les Africains. Aujourd’hui cela peut révéler une connotation négative, car quand on parle du mot africain aujourd’hui on pense aux guerres, aux coups d’Etats, aux problèmes de démocratie et aux droits de l’homme. Donc ce mot renferme toutes ces substances négatives et c’est pourquoi beaucoup de personnes prennent de la hauteur. On peut dire que l’art africain c’est de l’art exercé sur le continent.
C ’est-à-dire des artistes qui sont en contact avec les problématiques du monde contemporain essaient, à travers leur sensibilité, d’interpréter et de traduire. Comme cela peut se poser à d’autres formes de d’art africain, cela veut dire des éléments de l’histoire qu’on assume. Il y a plusieurs volets. Il y a l’approche qui pense comme celle de Léopold Sédar Senghor : « Qu’il faut aller puiser des images du passé et les faire correspondre aux techniques ».
Comme les gens le disent. Au fond c’est un problème de contenu, nous pouvons prendre les formes de l’art universel et dans le contenu y mettre les questions qui concernent le continent aujourd’hui. Donc c’est un problème de forme et de contenu. Mais la question de l’époque, c’est important, c’est pourquoi j’ai parlé d’histoire, et de question de géographie c’est-à-dire où se passe cet art. C’est important. C’est donc ces deux jonctions-là qui donnent la réponse.
Source: SudOnline
C ’est-à-dire des artistes qui sont en contact avec les problématiques du monde contemporain essaient, à travers leur sensibilité, d’interpréter et de traduire. Comme cela peut se poser à d’autres formes de d’art africain, cela veut dire des éléments de l’histoire qu’on assume. Il y a plusieurs volets. Il y a l’approche qui pense comme celle de Léopold Sédar Senghor : « Qu’il faut aller puiser des images du passé et les faire correspondre aux techniques ».
Comme les gens le disent. Au fond c’est un problème de contenu, nous pouvons prendre les formes de l’art universel et dans le contenu y mettre les questions qui concernent le continent aujourd’hui. Donc c’est un problème de forme et de contenu. Mais la question de l’époque, c’est important, c’est pourquoi j’ai parlé d’histoire, et de question de géographie c’est-à-dire où se passe cet art. C’est important. C’est donc ces deux jonctions-là qui donnent la réponse.
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