Le leader du Super Diamono, Omar Pène, a fait part jeudi de son ‘’total engagement’’ pour la cause des enfants, soulignant que son plus grand rêve c’est de ne plus voir des enfants de moins de quatre ans traîner dans les rues.
Omar Péne qui s’exprimait au cours d’une conférence de presse organisée par Plan International, en marge du Festival international du jazz de Saint-Louis. Dans ce cadre, Omar Pène se produira dimanche au stade Me Babacar Sèye.
‘’Mon engagement est total à coté des enfants et de Plan International’’, a dit le musicien qui a évoqué des titres de son répertoire comme Ticki-Ticki, Talibé, Guneyi etc. qui constituent selon lui de véritables cris du cœur pour le sort ‘’pitoyable’’ des enfants de la rue.
Omar Pène qui dit connaître les méfaits des mauvaises fréquentations puisqu’il a lui-même échappé à la rue, a invité ‘’les défenseurs de ces enfants à ne pas se décourager car ce combat sera difficile à gagner, mais mérité d’être mené’’. A la presse, il demande également de ne jamais se lasser de parler des cas de maltraitance ou de violences exercées sur des enfants pour qu’enfin, le sort de ces derniers change.
Interpellé sur l’année scolaire perturbée par une crise qui risque de compromettre sa validité, Omar Pène a demandé aux enseignants et à l’Etat de ‘’penser aux intérêts des enfants dont les parents n’ont pas les moyens de les amener aux Etats-Unis ou au Canada et à se mettre autour d’une table pour dialoguer’’.
Avant lui, le directeur de Plan International Ousmane Raymond Sèye s’était félicité du partenariat avec Saint-Louis Jazz dont le directeur était présent pour la tribune offerte à son institution, dans le but de véhiculer des messages en faveur d’une meilleure prise en charge des enfants.
Plan International déroule en effet un plan média qui utilise la musique comme forme d’expression pour toucher le plus grand nombre, en encadrant de jeunes musiciens dont les produits sont destinés à éveiller les populations sur le sort des enfants.
Ce projet s’étend à d’autres pays de la sous-région et englobe un volet éducation qui permettra aux blocs scientifiques du pays d’être dotés cette année en matériel informatique.
Source: APS
‘’Mon engagement est total à coté des enfants et de Plan International’’, a dit le musicien qui a évoqué des titres de son répertoire comme Ticki-Ticki, Talibé, Guneyi etc. qui constituent selon lui de véritables cris du cœur pour le sort ‘’pitoyable’’ des enfants de la rue.
Omar Pène qui dit connaître les méfaits des mauvaises fréquentations puisqu’il a lui-même échappé à la rue, a invité ‘’les défenseurs de ces enfants à ne pas se décourager car ce combat sera difficile à gagner, mais mérité d’être mené’’. A la presse, il demande également de ne jamais se lasser de parler des cas de maltraitance ou de violences exercées sur des enfants pour qu’enfin, le sort de ces derniers change.
Interpellé sur l’année scolaire perturbée par une crise qui risque de compromettre sa validité, Omar Pène a demandé aux enseignants et à l’Etat de ‘’penser aux intérêts des enfants dont les parents n’ont pas les moyens de les amener aux Etats-Unis ou au Canada et à se mettre autour d’une table pour dialoguer’’.
Avant lui, le directeur de Plan International Ousmane Raymond Sèye s’était félicité du partenariat avec Saint-Louis Jazz dont le directeur était présent pour la tribune offerte à son institution, dans le but de véhiculer des messages en faveur d’une meilleure prise en charge des enfants.
Plan International déroule en effet un plan média qui utilise la musique comme forme d’expression pour toucher le plus grand nombre, en encadrant de jeunes musiciens dont les produits sont destinés à éveiller les populations sur le sort des enfants.
Ce projet s’étend à d’autres pays de la sous-région et englobe un volet éducation qui permettra aux blocs scientifiques du pays d’être dotés cette année en matériel informatique.
Source: APS
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