C’est à quelques heures de l’ouverture officielle de la 8e Biennale de l’art africain contemporain qui se tiendra sur un mois - du 9 mai au 9 juin - que la presse nationale et internationale a été conviée à un bref aperçu de l’état d’avancement des travaux.
C’était hier au musée d’art africain Théodore Monod de l’Ifan. Face aux journalistes, il y avait le Commissaire général Maguèye Kassé et le Secrétaire général Ousseynou Wade, en présence des membres du jury.
C’était hier au musée d’art africain Théodore Monod de l’Ifan. Face aux journalistes, il y avait le Commissaire général Maguèye Kassé et le Secrétaire général Ousseynou Wade, en présence des membres du jury.
Pour cette édition, ils sont au nombre de huit : Gorän Christensson de la Suède, Abdoulaye Konaté du Mali, Thierry Raspail de la France, Sithabile Mlotshwa des Pays-Bas, Werner Schaub d’Allemagne, les Sénégalais Sidy Seck et Maguèye Kassé lui-même, et Gérard Senac qui préside le Comité d’orientation. Près de 40 artistes participeront à cet événement d’envergure internationale. Hier en fin de matinée, ils avaient tous remis leurs ouvrages, à l’exception d’un seul. Le jury qui se réunissait encore prévoit de délivrer ses résultats aujourd’hui.
Le thème retenu cette année est : ‘Afrique : Miroir ? ’. Dans sa dimension interrogative, il révèle le face-à-face entre l’Afrique et cette image que lui renvoie le miroir. Sous forme d’introspection, est-ce une image dénaturée ou déformée, un cliché ou une image réelle ? C’est aussi, en perspective, ce qu’il y a d’Afrique dans le regard des autres, l’Afrique vue du dehors. Une vision qui, selon Maguèye Kassé qui est aussi membre du comité d’orientation du Dak’art, trouve son expression dans le contexte actuel des choses : le continent noir aux plans social, culturel, politique et économique’. En cela, ‘il est intéressant et original de se poser la question à travers l’art’, parce que le destin d’un peuple réside en ce qu’il crée, s’approprie, ce dont il se réclame.
Le village de la Biennale qui comprend divers espaces avait un petit goût d’inachevé. Avec, entre autres, un local consacré aux différentes projections et un espace réservé à la presse. L’agitation était perceptible, quelques petits travaux menés çà et là.
Source: Walfadjri
Le thème retenu cette année est : ‘Afrique : Miroir ? ’. Dans sa dimension interrogative, il révèle le face-à-face entre l’Afrique et cette image que lui renvoie le miroir. Sous forme d’introspection, est-ce une image dénaturée ou déformée, un cliché ou une image réelle ? C’est aussi, en perspective, ce qu’il y a d’Afrique dans le regard des autres, l’Afrique vue du dehors. Une vision qui, selon Maguèye Kassé qui est aussi membre du comité d’orientation du Dak’art, trouve son expression dans le contexte actuel des choses : le continent noir aux plans social, culturel, politique et économique’. En cela, ‘il est intéressant et original de se poser la question à travers l’art’, parce que le destin d’un peuple réside en ce qu’il crée, s’approprie, ce dont il se réclame.
Le village de la Biennale qui comprend divers espaces avait un petit goût d’inachevé. Avec, entre autres, un local consacré aux différentes projections et un espace réservé à la presse. L’agitation était perceptible, quelques petits travaux menés çà et là.
Source: Walfadjri
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