Coumba Gawlo Seck : ’’Katoucha Niane était un rayon de soleil’’

La chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo Seck s’est élevée mardi contre les témoignages ’’abominables’’ faites sur la défunte Katoucha Niane par des gens qui ne l’ont connu, et a comparé l’ex-top-modèle, inhumée récemment à Conakry, à un ’’rayon de soleil qui avait peur d’indisposer les autres’’.

’’Elle est comme un rayon de soleil. Elle était aussi généreuse. Et comme toute personne elle avait des angoisses. Je connaissais Katoucha très forte. Elle adorait le Sénégal et ne se lamentait jamais sur son sort. Elle avait toujours peur d’indisposer les autres’’, a notamment soutenu Coumba Gawlo Seck dans les colonnes du journal l’Observateur (privé).

’’Beaucoup de gens qui parlent d’elle ne la connaissent pas. C’est une femme extraordinaire. Si vous la voyez pour la première fois, vous êtes impressionné. C’est une personne qui n’a jamais versé dans la médisance. Elle n’en avait pas le temps. Mais quand elle avait envie de vous dire ce qu’elle pense, elle ne se gênait pas’’, a-t-elle encore indiqué.

Après une disparition de près d’un mois, le corps de Katoucha Niane a été retrouvé le 28 février dans la Seine, à Paris. Elle a été inhumée le 14 mars à Conakry. Inhumation à laquelle la chanteuse sénégalaise, présentée comme une grande amie de l’ex-mannequin, avait pris part.
’’Au début je ne pouvais pas croire à sa mort. Mais plus le temps passait, l’angoisse s’installait. C’était horrible. J’ai été choquée avant même qu’on confirme sa mort, de voir à la télévision, dans la presse, des gens qui se disent amis de Katoucha, ce qui n’était pas vrai, raconter des choses abominables du genre +elle a l’habitude de nous le faire+’’, a déploré Coumba Gawlo Seck.

’’C’est avec elle que j’ai appris à dire aux gens qui m’entourent +Je t’aime+. Elle était la seule à me regarder dans les yeux et à me dire des choses authentiques. Elle savait donner de l’amour sans tricher. Elle avait cette innocence et c’est pourquoi elle était souvent choquée par ce qui se passait autour d’elle’’, a-t-elle souligné.

’’Elle était la seule à qui je pouvais raconter mes angoisses, mes problèmes sans aucune crainte de les retrouver dans la rue. Et des amies, j’en ai eues. Pourtant, il y avait une grande différence d’âge. J’ai perdu une moitié de moi-même’’, a-t-elle fait savoir.
Source: Aps

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